Bien choisir sa contraception en fonction de sa sexualité

sexualité

La contraception et la sexualité sont 2 notions distinctes et complémentaires. En effet, la contraception désigne une infécondité d’une personne lors d’un rapport sexuel grâce à l'usage de méthode adéquat. La sexualité humaine a connu une évolution depuis les années 1960 jusqu'à ce jour. La méthode contraceptive peut varier suivant l’orientation sexuelle. Sur ce, comprendre comment bien choisir sa contraception en fonction de sa sexualité est de ce fait indispensable.

Les différents types de contraception

Théoriquement, la contraception signifie une infécondité volontaire résultant de l’usage des méthodes contraceptives. Dans le cadre de la sexualite-et-contraception.fr/, il existe différents produits ou substances qui peuvent empêcher de façon temporaire ou réversible la fécondation, bloquer l’ovulation, limiter la rencontre du sperme avec l’ovule voire même prévenir contre la nidation de l’œuf. Dans la pratique, il existe différents types de contraceptifs (naturels ou médicamenteux) qui peuvent subvenir à ces besoins.

La contraception naturelle peut consister en l’abstinence sexuelle, en la courbe des températures, en l’éducation sexuelle, au retrait… En revanche, il existe une variété de contraceptions médicamenteuses qui sont disponibles et qui sont à utiliser suivant le contexte et les besoins du couple. Dans ce contexte, vous il est possible de trouver  les modèles avec hormone (l'anneau vaginal, le dispositif intra-utérin, l'implant sous-cutané le patch, la pilule,  etc.), les modèles sans hormones (comme le diaphragme, le spermicide, le stérilet, etc.), les modèles d’urgence (comme la pilule du lendemain), les modèles définitifs, les modèles masculins (comme le préservatif ou la vasectomie), les modèles féminins…  

Les différents types de sexualité

Généralement, la sexualité humaine regroupe les phénomènes de reproduction, les comportements sexuels les phénomènes culturels ou civilisationnels ou sociaux liés aux comportements sexuels et la recherche du plaisir et de l’attachement. Ainsi, il existe 3 formes d’orientations sexuelles : l’hétérosexualité, l’homosexualité et la bisexualité.

L’hétérosexualité (une attirance sexuelle exclusive entre 2 sexes opposés) comprend la sexualité féminine (se particularise par son amour, sa conjugalité, son désir sexuel, son plaisir, sa physiologie, sa psychanalyse, sa psychologie, sa reproduction, sa sociologie, sa vision) et celle masculine (un ensemble d’aspects comportementaux, physiologiques et psychologiques de la sexualité de l’homme). L’homosexualité (une attirance sexuelle exclusive entre 2 personnes de même sexe) englobe l’homosexualité masculine (également dénommée le gay pride) ou celle féminine (également dénommée le lesbianisme). La bisexualité (une attirance sexuelle préférentielle pour l’hétérosexualité ou l’homosexualité) touche à la fois le masculin (bisexuel circonstanciel, bisexuel de défense, bisexuel pour une seule femme, bisexuel homosexuel, bisexuel technique, bisexuel sexualisé, bisexuel expérimental, bisexuel hétérosexuel, bisexuel souffrant, bisexuel traditionnel) tout comme le féminin.

Les modes d’utilisation de la contraception

À titre informatif, chaque contraceptif s’emploie comme suit.

L’anneau vaginal est un tampon à mettre par soi dans le vagin. Valable pendant 3 semaines, elle est à retirer dans la semaine suivante. Ensuite, le diaphragme permet de bloquer le passage du sperme à l’utérus et de recouvrir le col de ce dernier. Par la suite, l’implant est un produit contraceptif, se présentant sous forme de bâtonnet en cylindre que l’expert en santé et reproduction va insérer dans la partie interne du bras en dessous de la peau, sous anesthésie locale, pour être valable à la limite de 3 ans. Puis, le patch est un mélange d’hormones, à coller sur la peau, à remplacer hebdomadairement et à la même heure, et ce pendant une durée de 3 semaines et dont la semaine suivante va servir de pause.

De plus, la pilule progestative consiste en un comprimé à avaler régulièrement à la même heure pendant une durée maximale de 28 jours. Celle-ci permet d’empêcher la phase d’ovulation et de celle de la grossesse. Aussi, la pilule du lendemain consiste en une contraception d’urgence à utiliser en cas d’oubli de consommation de la pilule progestative, en cas de déchirure du préservatif ou pour éviter une grossesse involontaire suite à un rapport sexuel moins protégé… En outre, le préservatif est une gaine en latex très fine est à placer pour recouvrir l’appareil génital masculin avant l’érection et préalablement à tout contact sexuel ou anal ou voire bucco-génital. Par ailleurs, le stérilet est un moyen pour nuire à la nidation des œufs. Il appartient au médecin ou sage-femme de le mettre dans l’utérus sans anesthésie pour être valable pendant 10 ans au maximum…

Bien choisir sa contraception en fonction de sa sexualité

Il existe quelques conseils indispensables pour bien choisir la contraception en fonction de sa sexualité. Toutefois, il faut tout d’abord demander l’avis ou la recommandation d’un professionnel en santé et reproduction (médecin ou gynécologue ou sage-femme) pour bien s’assurer sur celle qui convient le mieux à votre sexualité. Ensuite, le choix de la contraception est fonction des besoins et du type (naturel ou médicamenteux) mais surtout de votre mode de vie (relation épisodique ou stable) de l’hétérosexuel(le) ou de l’homosexuel(le) ou du bisexuel(le) en question. Ainsi, la femme peut choisir entre l’anneau ou l’implant ou le diaphragme le dispositif intra-utérin ou le patch ou la pilule (progestative ou du lendemain) ou le spermicide ou le stérilet… Puis, le choix est fonction des pratiques sexuelles effectuées entre le couple ou le partenaire ou le pacsé… Un couple hétéro ou bisexuel hétéro peut utiliser les différentes méthodes contraceptives normales (naturelles ou médicamenteuses) pour éviter les risques de grossesse involontaire, tandis le couple homo et le couple bisexuel homo doit opter pour le préservatif pour éviter le risque d’infection ou maladie transmissible.

 

Dans quels cas consulter un chiropracteur ?
3 mauvaises habitudes qui impactent votre santé

Plan du site